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> OT - Cortometraje RENDEZ VOUS (1976)
NEOKORTEX
mensaje Dec 4 2007, 04:45 PM
Publicado: #1


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Muchos de vosotros conoceréis un mítico cortometraje francés llamado Rendez Vous de Claude Lelouch porque fue muy celebrado en su dia como ejemplo de Cinema Verité, espontáneo, en tiempo real y blablablabla...

Pero otros recordamos este corto porque se trataba de una toma real de una cámara instalada en el morro de un Ferrari 275 GTB pilotado a toda leche durante mas de 8 minutos por las calles de París a las 6 de la mañana con tráfico abierto y sin parar en un puto semáforo...lo ilustro para aquel que aún no lo haya disfrutado:

http://www.youtube.com/watch?v=fLC3-BciWlk[URL-NOMBRE]Ver corto "Rendez Vous"

Al menos esto era lo que yo creía, porque hace poco he visto publicado que en realidad se rodó con un Mercedes 450 6.9 y que el sonido del motor fue añadido posteriormente.

Se me cayó el mito al suelo...

¿Alguien tiene datos fiables de cual es la versión auténtica de la historia?



[/I]La Torrecica resiste... [/I]

Edited by - neokortex on 04/12/2007 10:47:02


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La Torrecica resiste...
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accitano
mensaje Dec 4 2007, 04:53 PM
Publicado: #2


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En la http://www.pedrodelarosa.com/castella/foro/topic.asp?whichpage=17&pagesize=15&forum_title=F%F3rmula+1+en+espa%F1ol&topic_title=Nueva+revista%3A+GRAND+PRIX%2E&forum_id=1&topic_id=7522[URL-NOMBRE]página 17 del Topic: Nueva revista: GRAND PRIX se comentó algo sobre el corto. Espero que te pueda ayudar un poco...

Saludos.

"Cada tanto viene bien una derrota" Frank Williams.
[/b] [/i]


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Saludos.

"Cada tanto viene bien una derrota" Frank Williams.
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NEOKORTEX
mensaje Dec 4 2007, 05:20 PM
Publicado: #3


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De francés estoy fatal, pero todo parece indicar que la historia del Mercedes es cierta....y sin embargo a mí no me convence:


- Si nos fijamos en las imágenes vemos que al tomar las curvas el coche inclina poquísimo, por lo que se puede deducir que se trata de un coche muy ágil y con la suspensión bastante dura, un Mercedes 450 6.9 pesaba dos toneladas en vacío, por lo que veo muy dudoso que se pudiera moverse con esa soltura por muy siete litros que llevara bajo el capó.

- Por otro lado si nos fijamos en el sonido nos damos cuenta de que todos los cambios de marcha y reducciones del motor corresponden exactamente con las imágenes, doblar esto en 1976 sin la ayuda de un ordenador es sencillamente imposible.

Además el sonido es claramente ambiental, hay un momento en que queda especialmente claro: cuando el coche pasa reduciendo marchas para pasar por debajo de un arco estrecho se escucha claramente como el sonido rebota en las paredes del arco haciendo eco, por no decir que cuando pasa muy cerca de otros coches se oye el ruido del motor de estos.

Insisto, a mi me sigue pareciendo auténtica la versión ferrari.

La Torrecica resiste...


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MIKE WATT.
mensaje Dec 4 2007, 05:48 PM
Publicado: #4


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Y tan cierta





Edited by - MIKE WATT. on 04/12/2007 11:48:35
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ogledalo
mensaje Dec 4 2007, 06:30 PM
Publicado: #5


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VISTO PARA SENTENCIA.


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No por mucho amanecer madrugo más temprano.
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Ferrari F399
mensaje Dec 4 2007, 06:35 PM
Publicado: #6


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Yo sigo imaginando que es un Ferrari 275 GTB, aunque parezca demostrado que no lo es.

Ya se sabe, el cine está hecho de imaginación ("del material del que están hecho los sueños") .

Forza Ferrari


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Forza Ferrari
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NEOKORTEX
mensaje Dec 4 2007, 06:40 PM
Publicado: #7


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Si esta foto pertenece realmente a ese rodaje la cosa parece clara, pero entonces ¿cómo han recreado el sonido sin un ordenador?

Porque ese sonido no es de un Mercedes 450 ni de coña...




La Torrecica resiste...


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La Torrecica resiste...
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MIKE WATT.
mensaje Dec 4 2007, 06:57 PM
Publicado: #8


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El propio director lo explica todo un poco:

Dans quelles circonstances avez-vous entrepris "C'était un rendez-vous" ?
Je venais d'achever le tournage de "Si c'était à refaire". Quand un film se termine, on effectue les "rendus". J'ai donc demandé à mon régisseur quel métrage de pellicule il nous restait. Après inventaire, nous avions pas mal de chutes, entre 3000 et 4000 mètres au total. Beaucoup de petits rouleaux de 30 ou 50 mètres, mais aussi un magasin de 300 mètres, qu'il était prévu de rendre. Moi, j'avais envie de faire un court métrage que nous aurions placé en première partie du film. Depuis longtemps je voulais raconter l'histoire d'un type en retard à un rendez vous qui commet plein d’infractions pour arriver à l’heure. Pour moi , être à l'heure est une obsession. Je suis capable de prendre des risques inouïs pour ne pas être en retard. J'ai suggéré à mon opérateur Jacques Lefrançois, l'idée d'un plan-séquence, la caméra accompagnant un type qui a rendez-vous à Montmartre avec une fille. Comme il est à la bourre, il traverse Paris à toute allure, en grillant les stops et les feux rouges.

Dans le film, le conducteur prend-il le chemin le plus direct ? Si un Parisien veut aller de l'avenue Foch à Montmartre, il n'est pas obligé de passer par les guichets du Louvre...
Il va prendre l'avenue de Wagram, bien sûr. Mais, Mous vous en doutez, je voulais en même temps proposer une sorte de reportage. Mon problème était d'élaborer un plan qui n'excède pas dix minutes et qui trouve son intérêt à la toute fin avec la fille qui arrive sur les marches.
J'ai réfléchi au projet. J'ai demandé à Elie Chouraqui, mon assistant à l'époque, de voir quelles autorisations il nous faudrait obtenir. Nous nous sommes vite rendu compte qu'un plan comme celui-ci nécessitait de bloquer tout Paris. Ce n'était même pas la peine de demander nous n'étions pas prêts à mettre en œuvre les moyens d'un long métrage pour réaliser un court. J'ai interrogé un cascadeur : « Si je filme très tôt, qu'est-ce que je risque en grillant les feux rouges ? » Il m'a expliqué que c'était de deux choses l'une. En arrivant à un feu rouge, s'il n'y a personne dans le champ de vision, le risque n'est pas bien grand de passer en force : il faudrait qu'au même moment, un même cinglé déboule à la même vitesse. Et s'il y a quelqu’un dans le champ de vision, il est toujours possible de freiner. Je suis donc parti du postulat que si je roule vite et que je ne vois rien, c'est qu'il n'y a rien ... Le seul inconvénient majeure c'étaient les guichets du Louvre. Ils me faisaient peur à cause de leur absence de visibilité. Pour le tournage, j'ai demandé à Chouraqui de s'y installer avec un talkie-walkie et de me prévenir au moment où j'arrivais. S'il ne me disait rien, c'est que tout allait bien. C'est la seule véritable précaution que j'ai prise. Pour la beauté du film, il fallait vraiment que je ne m'arrête pas. Que je stoppe à un feu rouge, et le film disparaissait. Il y avait d'ailleurs neuf chances sur dix pour que nous n'arrivions pas au bout.

La caméra est fixée à la calandre de la Mercedes. Comment la voiture était-elle équipée ?
Nous avons accroché la caméra sur le pare-chocs de la voiture, une 6,9 litres Mercedes. A l'intérieur nous étions trois, attachés comme des mulets : moi-même au volant, mon chef machino, et mon chef opérateur pour éventuellement changer le diaphragme. Au dernier moment, il a fallu régler un diapo moyen. L'image devait être au ras du sol pour être encore plus spectaculaire. Nous sommes en plein mois d'août. Bien sûr, nous avions décidé de sacrifier le film et de tout arrêter au premier danger. Nous roulions vraiment vite.

Quand vous dites "Nous roulions vite" vous parlez de quelle vitesse ?
La montée de l'avenue Foch, entre 150 et 180 km/h. Les Champs-Élysées à 130 à 150 avec une pointe à 160 km/h au niveau de Franklin Roosevelt. Puis jusqu'à la Concorde, comme c'était bien dégagé, j'ai dû monter à 200 km/h. J'ai pris la place de la Concorde à 150. Sur les quais, j'ai franchi les 200 km/h. J'ai pris les guichets presque normalement, c'est-à-dire à 80 ou 90 km/h. Comme Chouraqui ne m'appelait pas, je suis passé sous les guichets à fond, 100 km/h, car le passage est tout de même assez étroit. Je ne savais pas que le talkie de Chouraqui était en panne ! Je ne l'ai su que le tournage terminé. Puis j'ai remonté l'avenue de l'Opéra. Le carrefour était bloqué par un bus. Pour éviter de ralentir, j'ai dû passer de l'autre côté de la chaussée, des voitures venant en sens inverse. Place de I'Opéra, pas de problème ! J'ai ensuite pris la rue de la Chaussée-d’Antin vers Clichy. Je suis tombé sur des camions-poubelles que je n'ai pu dépasser qu'en montant sur le trottoir. Je croyais ne plus avoir de problèmes. Mais en arrivant rue Lepic, j'ai été bloqué par un type qui livrait. J'ai pris de l'autre côté, vers le paumant Palace, en destruction à l'époque. J'ai remonté l'avenue Rocquencourt, ce qui me rallongeait énormément. Je ne savais pas s'il allait me rester suffisamment de pellicule. J'ai donc pris des rues en sens unique pour arriver à Montmartre dans les temps ...

Vous aviez effectué des repérages ?
J'avais fait le parcours une fois, lentement, pour bien déterminer les passages. Je disposais de l'équivalent de 9-10 minutes de pellicule ! Il me restait 15 secondes pour couper le moteur descendre de voiture et prendre la fille dans mes bras. Nous avions convenu que lorsque je klaxonnerais elle monterait deux marches, pénétrant ainsi dans le champ. Le plan-séquence ne pouvait être réussi que sur ces dernières secondes. Je m'étais dit que si je ne réussissais pas la première prise, je ne recommencerais pas. Par superstition. Si le miracle devait avoir lieu, il aurait lieu ... Et il a eu lieu. En forçant quand même le destin, puisque nous avons grillé dix-huit feux rouges.

Comment expliquez-vous la notoriété de ce court métrage, qui est devenu un film culte, ce qui est plus que rare peur un film court...
J'ai montré le film un peu partout. Il n'a pas toujours été très bien accueilli compte tenu de son manque de sens civique flagrant, ce que je ne saurais contester. Mais il a aussi ses fana. Quand j'ai montré le film pour la première fois à Los Angeles, où le non-respect des règles de conduite est toujours fortement sanctionné, le triomphe s'est mêlé à d'incroyables sifflets. "C'était un rendez-vous" a toujours suscité la polémique, mais il montre aussi tout ce qu'on aime dans le cinéma. Comme j'aime le cinéma plus que la loi ... Je savais que je tenais un morceau de bravoure. Je me disais, en toute modestie, qu'il y avait là la possibilité de faire l'un des plus beaux plans de l'histoire du cinéma. Les plans-séquences de dix minutes sont rares, en raison de l'étroitesse du magasin de la caméra. Même Hitchcock dans "La Corde" a anticipé ses changements de pellicule.

Vous avez repris ce principe de courses sous différentes formes.
Dans "Un homme et une femme : vingt ans déjà" , mais c'était sur un circuit, tout comme dans "Partir Revenir". Pour "Le Chat et la Souris", réalisé quelque temps plus tôt, nous avions expérimenté la chose. Mais le tournage était bétonné avec des flics devant et derrière. Pour "C'était un rendez-vous", nous avons fait un truc de voyou.

Qu'est-ce que vous risquiez ?
D'abord, un accident ! Ensuite, les conséquences d'un tournage sans autorisation. Enfin un retrait de permis de conduire. Le film est beau par sa prise de risque. S'il a eu autant de succès et qu'il prête tant à discussion, c'est qu'il est risqué.

Vous aimez les courts métrages ?
D'une certaine façon, il est plus difficile de faire un court qu'un long. Economiquement c'est un cauchemar. Artistiquement, il faut être dans l'essentiel. Quand on regarde un court métrage, on sait tout de suite si son signataire a de l'avenir dans le cinéma. Quand j'ai vu le court métrage de Xavier Giannoli par exemple, j'ai su qu'il s'agissait d'un vrai metteur en scène.
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ruso
mensaje Dec 4 2007, 06:58 PM
Publicado: #9


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The film was shot in a single take, without any special effects or stuntmen, with the director driving the car.


The idea for this film came to Claude Lelouch after hiring a gyro stabilized camera mount for a film he was working on at the time.


The film is nine minutes long because the film cartridge in the camera could only hold 10 minutes of film and it was taken in a single shot.


Lelouch was arrested shortly after the film was screened but was later released without charge.


The route taken in the film is 10.42 km long (6.48 mi). It takes the driver 7:57 to cover that distance, giving him an average speed of 78.64 km/h (48.86 mph).


According to recent claims by Claude Lelouch, he was driving his own Mercedes in the film, and later dubbed over the sound of a Ferrari 275GTB to give the impression of much higher speeds. Calculations made by several independent groups using the film show that the car never exceeds 140 km/h (85 mph), which seems to lend credence to his recent comments.


Three people were in the car, with Claude Lelouch at the wheel.


Resulting in a notable contrast of moods, the original release of this film in the U.S. was as a short showing before Woody Allen's Interiors (1978).


Until recently, there was no confirmation of who was driving or what car he was driving. Over the years, various sources claimed an F1 driver was at the wheel of a Le Mans Matra 675, Ferrari 275 GTB, or an Alpine A110. However, Claude Lelouch confirmed on his official website in March 2006 that he was driving, and it was a 6.9 litre Mercedes.


This footage is now being used as the music video for Snow Patrol's latest single "Open Your Eyes". (March 2007)

Fuente: Internet data movie base
WWW.imdb.com


Too late! lo siento

Edited by - ruso on 04/12/2007 13:00:15
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murra
mensaje Dec 4 2007, 09:22 PM
Publicado: #10


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Gracias NEOKORTEX, yo ya había visto el corto hacía tiempo pero no recuerdo dónde... desde luego es un film de culto, al que siempre le ha acompañado una cierta leyenda.
Tenía entendido que el director tuvo ciertos problemas legales (no me extraña) y que siempre se negó a revelar la identidad del conductor, lo cual dió cancha a rumores de que podía tratarse de uno de los pilotos franceses de F1 de la época.

Veo que aquí dice que era él mismo, yo no me lo creo, no sé si será un piloto de F1 pero sí desde luego parece un piloto profesional, o al menos bastante ducho en el tema..
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NEOKORTEX
mensaje Dec 5 2007, 05:13 PM
Publicado: #11


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Yo tampoco creo esa versión de que fuera el propio director el piloto, el tio que lleva ese coche, ya sea Mercedes o Ferrari controla muchísimo.

Se dice que el piloto fue Johnny Servoz-Gavin, expiloto de F1 del equipo Matra en los últimos 60's, podría ser que se hubiera ocultado su identidad para evitar problemas.

En el texto en inglés que ha puesto Ruso dice claramente que el sonido fue sustituido posteriomente por el de un Farrari 275 GTB, pero yo aún sigo sin recibir una explicación coherente de como consiguieron que el sonido cuadrada perfectamente con los cambios de marcha, las reducciones, los pasos por arcos, los sonidos externos, etc...

La Torrecica resiste...


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La Torrecica resiste...
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cies
mensaje Dec 6 2007, 03:16 AM
Publicado: #12


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Yo no sé si soy un quemao o estoy loco pero tampoco me parece que vaya tan tan rapido.

Si sabes poner la camara en el sitio adecuado y pinchas los planos decuados puede parecer que vas a una hostia impresionante y a lo mejor vas a 20.
(es lo que hacen en todas las pelis)

Por como pasa a los coches asumo una diferencia de velocidad de unos 40/50 Km/h.

E iba con las calles deiertas

Ví hace años una grabacion de una moto por las circunvalaciones de Paris en hora punta que ponía los pelos de idem.
Iba tanto mas rapido que los coches que adelantaba no te daba casi tiempo a verlos.
Si lo encontrase...


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Islas Cíes,
Paraíso natural frente a Vigo.


http://es.wikipedia.org/wiki/Islas_C%C3%ADes
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homer15
mensaje Dec 6 2007, 07:34 AM
Publicado: #13


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Estoy con Cies.

No va tan tan rápido. Es más, diría que ese coche iba mucho más desahogado de lo que nos querían hacer creer por el sonido.

El video se ha editado posteriormente tal como habeis dicho, asi que posiblemente se hayan utilizado tecnicas de edición no actuales, pero tampoco prehistóricas...

Está bien que cuando pasa por los arcos y calles estrechas se oiga resonar el motor, incluso las reducciones encajan con la imagen. Es un buen trabajo.

Si nos basamos solo en lo que vemos, podriamos deducir que efectivamente se trataba de un Mercedes. Tenemos poco en lo que fijarnos, pero vemos como el coche no tiene una suspensión tan deportiva como la deberia montar un Ferrari, aunque realmente desconozco las características técnicas de ambos coches (por favor, algo de luz al asunto?).

Sobre el piloto... bueno, discrepo un poco con vosotros pero creo que aparte de temerario, es un poco manazas.

Os habeis dado cuenta de que los neumaticos patinan (por el sonido) incluso cuando esquiva a un coche? incluso cuando a acabado de tomar la curva?

Los chicos del Equipo A conseguian este tipo de efectos.

Lo siento, pero hasta el momento soy escéptico con este tema.

Interesante, por cierto. Gracias.


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L E T ´S R A D I C A L ! ! !
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